p.
Deux échiquiers sont utilisés dans cette variante.
- Des pièces à l'envers apparaissent à chaque coup de pièce "normale" :
+ Des pièces colorées apparaissent à chaque coup de pièce "normale"
+ (jaunes pour les blancs, rouges pour les noirs) :
ces dernières vivent sur un autre échiquier. Quand elles se déplacent à
nouveau, elles reviennent sur l'échiquier initial.
Les règles usuelles s'appliquent sur chaque échiquier.
| fen:rnbqkbnr/ppp1pppp/8/8/2p5/5O2/PP1PPPPP/RNBQKB1R:
figcaption Après les coups 1.Nf3 Pd5 2.Pc4 Sxc4
+p
+ | Comme aux échecs orthodoxes, on gagne en matant le roi adverse.
+ | Celui-ci ne doit pas pouvoir parer l'échec, pas même en s'échappant sur
+ | l'autre échiquier.
+
p.
La prise en passant et le roque s'effectuent comme dans le jeu orthodoxe.
Plus précisément, on peut prendre en passant quels que soient les mondes de
roi a bougé et le roque n'est plus légal), et le roi ne doit pas être en
échec sur l'échiquier d'arrivée.
-h3 Note
-
p.
Tout coup joué doit être légal sur l'échiquier où il est réalisé,
et la position résultante sur l'autre échiquier doit être légale aussi.
Par exemple, 1.Pe4 Pd5 2.Be2!? Sxe4?? 3.Cb5# fait mat car
3...Kd7 n'est pas valide sur l'échiquier 1.
-h3 Fin de la partie
-
-p
- | Comme aux échecs orthodoxes, on gagne en matant le roi adverse.
- | Celui-ci ne doit pas pouvoir parer l'échec, pas même en s'échappant sur
- | l'autre échiquier.
-
h3 Plus d'information
p
a(href="https://www.schemingmind.com/journalarticle.aspx?article_id=9")
| schemingmind.com
| .
+
+p Inventeur : Vernon R. Parton (1953)